Smail Chikhoune
Economy

Invité de la rédaction – Smail Chikhoune Président du conseil d’affaire Algero Américain

Smail Chikhoune
Smail Chikhoune

Monsieur smaïl chikhoune bonjour alors nous allons aborder ensemble la question des investissements algériens en américains en algérie des investissements qui connaissent un fléchissement puisqu’on est passé de 22 milliards de dollars en 2008 à un peu plus de 5 milliards ces dernières années qu est-ce qu il expliqué ce qui le justifie monsieur foote savait que les volumes d’échangés en général avec les amis 15 a toujours été dans les hydrocarbures et ont obtenu que les américains maintenant produire propre tétreault légal c’est par conséquent ils importent moins et c’est ça qui a fait réduire si vous voulez un petit peu ce volume a à peu près 5 29 milliards de dollars mais il faut travailler maintenant dehors de des hydrocarbures est allé à développer davantage dans les autres secteurs mais partant de ces chiffres de façon concrète est ce qu’on peut affirmer que le seul domaine d’investissement qui intéresse réellement les américains demeurent les hydrocarbures les ide ruch les hydrocarbures exclusivement monsieur chiron puisqu’on a vu qu’il ya eu une délégation américaine d’hier qui a signé un contrat avec sonatrach pour 100 millions de dollars oui effectivement air products chemicals a signé avec sonatrach hier d’ailleurs parmi les des autres contrats signés avec sonatrach avec les autres compagnies étrangères américain air products et pour développer davantage de l’hélium ici en algérie et c’est une c’est une c ça fait partie de la diversification plus de ce qui arrive aussi dans les énergies renouvelables puisqu’il est question si vous avez vu le développement et la stratégie de son entrave 2030 et je tiens à cette occasion à signaler que la non seulement la partie américaine mais surtout à l’international d’apprécier cette stratégie de sonatrach d’avoir une vision comme ça au delà des dix ans et c’est pour ça que les résultats sont là hier il ya eu cinq contrats de signer parce qu’il ya eu une visibilité une stratégie d’aller à 2030 et c’est bravo bravo à sonatrach ses dirigeants d’aller vers cette vision est d’attirer plus d’investissements puisque c’est un message assez fort qu hier que son antre à craindre et c’est à l’international c’est de dire qu’il y a on peut faire du business en algérie et que sur notre ac a changé dessiner puisque notre avis à quelques années sont à traquer maintenant à une c6 restructuré avec un une stratégie de au delà de dix ans et je pense que n’importe quel investisseur étranger c’est ce qu’ils cherchent c’est une visibilité et de savoirs et la bravo encore une fois sont à trac parce qu’elle a vu assigner ya cinq contrats dont un avec les américains mais si on est passé aussi d’un chiffre d’affaires ou d’un volume d’investissement de 22 milliards en 2008 à 5 milliards de dollars aujourd’hui est ce qu’on peut considérer que les américains ne s’intéresse qu’aux hydrocarbures en algérie exclusivement monsieur giraud non non pas du tout pas du tout puisque j’ai reprend et j’insiste toujours sur ce volet de l’agriculture puisque vous savez dit la semaine dernière il ya eu une douzaine de dates d’agriculteurs et de compagnies américaines qui sont revenus ici venue de l’état de l’utah nouveau en dehors de la Californie et ils ont discuté avec la partie algérienne ici avec des agriculteurs et je peux vous affirmer qu’il ya eu de très bons contacts que on va aller à une signature d’un mémorandum d’entente trois d’entre eux entre biskra et el menea pour développer cette fois ci directement des fermes de vaches laitières et nous allons en mener la partie algérienne avec qu’ils en discuter avec la partie américaine à la mi-novembre de venir aux états unis pour voir de nouveau leurs partenaires américains avec qui ils vont travailler sur place et une autre note groupe viendra aussi à la mi-décembre également accès pour vous dire que sur ce volet là nous avons sont parfaitement mais vous ne considérez pas que les premiers déjà projets sont un échec celui de bahia dès adderall puisque ce qui a été relevé par un expert algérien que sur le plan économique les américains n’ont pas les moyens financiers pour un aussi grand projet dans le coût est estimé à un peu plus de 800 millions de dollars cela concerne aussi bien le projet dans le bail est que celui d’adrar monsieur chirac est ce qui s’est passé et on vous l’avait vraiment vous permettez moi tout d’abord de de dire que d’annoncer des chiffres comme ça de 800 millions il n’a jamais été question de 800 millions il a été question d’aller entre 100 à 300 millions de dollars parce que c’étaient des phases il y avait cinq phases sino parlant spécialement de celui de l’europe éd été question d’aller à plusieurs six phases et chacune aller en moyenne 200 de 50 à 100 millions pour finir probablement à 300 millions de dollars par la suite bon c’est vrai que il y a eu quelques difficultés des difficultés dante bureaucratique et ensuite il fallait c’était le premier partenariat et que maintenant s’il est au ralenti parce qu’il ya eu quelques discussions au niveau de certaines clauses qu’il fallait revoir et je pense que maintenant ces clauses ont été rediscuté une d’entre elles parce que j’ai demandé à avoir des détails puisque vous le savez moi je ne mets en relation ensuite les deux parties c’est à eux de travailler souvent je ne souris pas le détail de ce que chacun fait puisque nous couvrons conseil d’affaires tous les secteurs d’activité bon principalement puisque vous me m’aborder sur ces sujets j’ai un peu plus d’éclaircissement la partie américaine avait demandé aussi une exclusivité à travailler qu’avec qu’avec de la partie algérienne a demandé une exclusivité aux américains de travail qu’avec eux mais pas avec d’autres donc par conséquent il ya eu quelques si vous voulez discussions sur ce sujet et je sais que maintenant ils ont pu reprendre un petit peu les discussions et de projet va reprendre de nouveau le doublé c’est ce que nous espérions vous savez c’est comme un mariage est un moment ça se passe pas toujours très bien et un moment où il ya quelques disputes une douleur maintenant ils ont trouvé un terrain d’entente et que le projet reprennent mais évidemment encore une fois je dis c’est des phases 1 maintenant il ya eu beaucoup de polémiques sur sa tout au départ sachez que c’était le premier du genre et que même si c’est un premier il y avait certainement quelques difficultés mais on est en train d’essayer de surmonter un petit peu toutes ces difficultés à 2 2 parce que c’est le premier du genre entre la gérer des américains mais mais ce qui alimente cette polémique c’est quand même le seul pays les états unis qui a qui a bien voulu venir travailler dans ce partenariat donc si c’est le premier du genre je vois pas pourquoi tout le monde focalise sur ce projet là et je défie les autres les autres pays de venir faire pareille chose qui ne s’est jamais physiquement des méga projets on a démarré mais ce que je peux vous garantir maintenant que d’ici la fin de l’année chabat et duo à trois un maillot qui vont être signés avec d’autres interlocuteurs américains et d’autres compagnies il y en a même de ceux qui sont venus cette fois ci vous non même fabriqué des pivots de d’irrigation ici même de là ils ont trouvé d’autres partenaires algériens et qui veulent bien sinon c’est dans ce dans ce secteur-là pour aller à des fermes de trois mille vaches chacune puisque c’est une question de biskra est question des milliards mais justement par rapport à cette polémique a été suscitée aujourd’hui puisque le projet connaît quand même réellement du retard monsieur je suis rhône par rapport à ce qui avait été annoncé précédemment à ce que vous n’êtes pas aller trop vite en besogne en attendant sont déjà un méga projet qui va assurer à l’algérie une autosuffisance en matière de production de lait est également pommes de terre et vous avez vivement aussi réagi en déclarant par rapport à ses paumes une polémique que ce sont là des attaques qui n’ont qu’un seul objectif le dénigrement en semant le doute quel est votre commentaire vous étiez trop enthousiaste monsieur giroud mais il faut l’être je pense qu’il faut l’être sinon si on les prend tout cela ce n’est pas optimiste on pourra aller nulle part mais est-ce que les amstaff et augmentant le démarrer albert c’est un terrain qui ont été attribués qui n’a jamais été travaillé auparavant je pense que sa robe ça remonte même au temps des romains et que si des terrains se demande du temps ils demandent du temps à ce qu’ils soient si vous voulez productif incertain à un niveau donc il ya eu déjà mille hectares qui vient d’être travaillée et une chaleur ils reprendront maintenant pour aller au devant et suivre leurs phases là différentes phases qui sont programmés en fonction des cultures mais le projet n’a pas été abandonnée monsieur cheron pas du tout pas du tout non pas du tout non non non non il ya une incompréhension il n’est pas été abandonné il ya eu un arrêt parce que je vous ai dit il était en discussion de se modifier certaines clauses et de changer en espérant que maintenant ils reprennent assez vite mais qui va financer ce projet monsieur rousset les banquiers ou c’est les américains vous savez alors là dessus également il ya quelques temps disait aux compagnies étrangères de venir et de ramener votre expertise et votre savoir faire et que on n’avait pas besoin de votre argent c’était le discours en 2014 c’était de venir nous n’avons pas besoin de votre argent et les banques algériennes peuvent financer bon mais quand on investit on met de l’argent aussi monsieur chez route mais bien sûr mais bien sûr et les américains vont ramener de l’argent maintenant c’est clair ce qui arrive maintenant les nouveaux pour ses nouveaux projets là il vient avec l’argent et et 10 ans et leur partenaire algérien et j’espère que les banques algériennes vont suivre sur ce domaine là parce qu’écouter si les toits si l’état doit encore importer si je parle du des dépenses est encore un milliard et demi pour ramener de la poudre de lait je pense qu’il serait plus préférable de consacrer un petit peu de cet argent là au lieu de l’importation et de mettre à disposition d’un partenariat alors monsieur smaïl chikhoune pour aller vers cette diversification des investissements hors hydrocarbures puisque le savons que les américains sont essentiellement orientés en algérie sur les hydrocarbures à ce que d’autres investissements potentiels puisqu’on parle dans l’automobile l’éventualité de ford pour s’installer en algérie où ayew exxon mobil si on veut rester aussi dans l’hydrocarbure monsieur jérôme rapidement oui ben si vous restez dans les eaux carburer effectivement exxon son trac est toujours en discussion avec eux et et j’avale l’aboutissement va se faire très bientôt l’annoncent d’erreur probablement sera fait par son trac et par exxonmobil en temps voulu c’est parfait parce qu’il a le vent deux compagnies au monde de ce qui concerne donc la rue ray et vous savez une compagnie comme ça qu’ils s’intéressent à l’algérie ça veut tout dire s’intéresse en termes d’investissements pour la reprise de leurs actifs puisqu’on a déjà repris une raffinerie l’eau raffinerie de l’italie monsieur chiffres on vous avait qualifié ça comme excellente opportunité puisqu’elle nous a coûté un milliard de dollars non non d’investissement puisqu’ils vont venir ici c’est de faire de leurs forces et de faire dans non conventionnelles et cetera donc c’est un investissement en saura davantage très bientôt si on le le coût de l’investissement la loi la révision sur les hydrocarbures va un peu booster davantage ce secteur sur vous certains ça c’est certain le premier ministre a annoncé pour bientôt oui et c’est très bien c’est très bien que le gouvernement ait réagi de sorte parce que tout le monde attend cette révision et pour que l’algérie soit un petit peu aux mêmes standards internationaux et que ce soit très actif comme le font les autres pays mais maintenant plus attractif même puisque la foule offre encore plus davantage ici pour les autres secteurs l’automobile ford bientôt en algérie également les discussions sont à un stade avancé monsieur cheron oui oui oui parfaitement donc c’est bien c’est bien plus qu on aura ces compagnies américaines ici et plus je pense que ce sera un moyen de diversifier d’attirer et de créer plus d’emplois et d’attirer de cette expertise n’oubliez pas que ça reste quand même un pays uni sont un petit peu les 10,2 dans tout ce qui est produits de bonne qualité et d expertise reconnue mondialement alors des questions des auditeurs mais chiron qui sont très nombreuses ce matin celle ci qui concerne bien sûr l’investissement américain alors pourquoi aucun transfert technologique ou de savoir faire n’est jamais assuré ne pensez vous pas que les investissements étrangers sont toujours à l’ avantage des pays étrangers et que le but ultime de la mairie comme les autres partenaires et seulement d’avoir accès aux ressources pour cas l’algérie non bénéficie que d’une façon marginale monsieur sharon non je citerai tout de suite un exemple de de cette compagnie qui est avec nous qui sont venus dans l’agriculture il ya une semaine où elle veut fabriquer ici avec un partenaire algérien que ce soit l’état ou un privé des pivots d’irrigation je citerai exane encore une fois notre exemple celui de cette délégation qui est venu au l’énergie il ya une compagnie et qui était assez merdier de jour exact et qu’ils ont on a des réunions très productive au niveau de sonatrach et des filiales de sonatrach puisque parmi la délégation américaine il ya une grosse compagnie qui fabrique des valves et des vannes et veulent les fabriquer ici avec un transfert de technologie parmi ces mêmes principes que je pour general electric avec sonelgaz oui messieurs l’année d’avant c’est parfait ça c’est un projet où vous savez même décrit un petit peu partout dans le monde de ne parler que general electric travers que même si on ne dirait pas encore une référence et c’est et c’est parfait pour l’algérie je disais parmi la délégation de la de l’énergie on a ramené le recteur de l’université d’oklahoma qui est spécialisée dans l’ingénierie pour la sonatrach et du recteur et là il doit doit avoir des réunions à partir de demain au niveau de sonatrach pour lee ap de développer cette coopération dans la formation transfère également sur des technologies de qui s’agit d’aller vers certains corps de métiers au niveau de l’énergie donc c’est pour vous dire que il y aura toujours transfert de technologie mais on axe également beaucoup dans la formation et de créer cette synergie entre les universités américaines et des instituts et universités algériennes qui s’assoit dans l’agriculture également puisque les questions aussi de travailler avec l’université de de l’utah pour les instituts d’agronomie afin de créer cette coopération encore une fois formation et fournissent alors il y a l’ambassadeur des états unis qui a dans un déclaration récemment considéré que le climat des affaires en algérie est relativement contrées en contrées nyon en décriant bien sûr la règle des 51 49 est ce que c’est le climat qui est contraignant c’est la frilosité des amériques à investir en algérie qu’il faut peut-être mettre en avant puisque plusieurs délégations sont venues sans pour autant qu’il y ait des investissements directs monsieur giraud ça remonte à dix ans pratiquement qui vient et qui repartent sans investir et l incertain certains investissent vous savez il ya des petits projets beaucoup n’en parle pas hors hydrocarbures c’est un peu 300 millions de dollars vous savez dans le pharmaceutique les toutes les compagnies américaines fabrique des médicaments ici c’est pas annoncer tous les jours mais sinon il travaille il ya également dans tout ce qui est dans les hydrocarbures même dans les services énormément de compagnies américaines qui travaillent avec leurs parties algériennes mais encore une fois le 51 49 maintenant tout le monde le sait et tout le monde sait que toutes ces campagnes qui viennent ici de celle qui accepte de le faire elles le font mais un atom qui ne veulent pas le faire et que c’est peut-être un peu dommage parce que si vous voulez pour certains ça reste un frein surtout les petites et moyennes entreprises qui n’ont pas cette culture leurs traditions d’aller à l’étranger en étant minoritaire mais ceci dit il y en a qui viennent et tant mieux nous leur disons à l’avancé nous ramenons que celles qui veulent bien travaillé sous ses origines du 51 49 elle n’est pas contraignante cette règle pour les américains de façon concrète monsieur j en général je dirais pas que en général la preuve via des contrats qui vient d’être signé mais il y en a qui travaillent toujours sous ce régime là sa vie à plus de 100 compagnies américaines qui activités en algérie elles sont sous ce régime là donc c’est pour ça que je dis il y aurait peut-être davantage si cela n’existait pas pour encore une fois les petites et moyennes entreprises qu’ils n’ont pas cet habitué de cette culture de travail sous ce régime maintenant ce qui serait bien aussi c’est de dalea si vite si je derrière pendant la conférence de l’énergie il ya un panel qui a soulevé un petit peu ce cette problématique au moment de signer le contrat et d’aller vers démarrer ce projet souvent mais à 7 en mai à 7 ans surtout qu’entre six et des hydrocarbures vous savez dans certains pays où on met à peu près entre moment de la signature est un moment de la production 6 à une année malheureusement chez nous ça va jusqu’à trois ans et ça si vous vous laissez vous perdez du temps ça devient coûteux parce qu’il faut payer déjà entre temps et c’est donc peut-être que maintenant il faut apprendre à des vite dans l’exécution si vous voulez des tout ce qu’il faut au sujet du projet de lui-même à partir du moment où un signe et à partir du moment où on commence à prévu le temps c’est de l’argent en septembre on vous a vu accompagner la délégation d’hommes d’affaires algériens à washington est ce que vous avez réussi à placer leurs produits sur le marché américain ou du moins décrocher des promesses d’achat mais ce chiffre ou non mais c’est vrai qu’on a vu que c’était important absolument absolument et je suis très fier de le dire il y avait le ministre algérien et le président de la chambre de commerce absolument et que le donneur devant le ministre washington et qui n’a d’ailleurs rassuré la partie américaine de 2,2 que l’algérie est ouverte à ce type de business et linde ou là on a eu des bons résultats puisque beaucoup en placer leurs produits nous avons nous sommes allés même très loin a créé la maison de l’algérie au niveau de bâtiments bâtiment vous savez c’est le plus grand porte des états unis sur la côte est et la journal la maison de l’algérie est créé au niveau de baltimore dans la zone industrielle et c’est là que beaucoup ont laissé leurs produits c’est pour les faire connaître tous les jours nous faisons maintenant régulièrement la journée de l’algérie a invité des distributeurs etc et je vous dis encore une fois résultat de ce qui s’est passé à washington le 8 décembre nous allons voir une délégation de distributeurs et de grossistes américains qui vont venir à alger ça c’était une idée encore une fois du ministre et je le remercie pour cette initiative c’est d’inviter maintenance et distributeurs pour venir voir comment il fabriqué le produit agit rien qu’il est réellement standard international devenir réellement voir les équipements utilisés et les le cd produits qui ont parfaitement leur place aux etats unis c’est pour ça que c’est vraiment on va les ramener visiter ici à bordj bouararidj pour tout ce qui est électronique est également que ce qui a grandement terre de visiter des usines et de conclure davantage ici à alger pour ses problèmes de d’exportation du produit de façon concrète est ce que des produits algériens ont leur place aux états unis est ce qu’on a réussi à les placer monsieur parfait maintenant l’objectif de l’algérie c’est d’aller vers l’exportation pour la diversification de ses entrées de devises exact ils ont parfaitement leur place et même la partie américaine a beaucoup apprécié le produit algérien et je le dis encore une fois il a sa place des contrats et vous allez voir que des produits vont être placés aux états unis grâce d’ailleurs à ces initiatives là et c’est pour ça que la qualité de l’huile d’olive et reconnu les dates aussi des filles les de tous qui avons alimentaire et aulas ne va accroître un petit peu ses volumes de d’exportation et c’est tout le but pour l’algérie d’aller en dehors de ça carbure mais d’aller de pousser vers cette exportation c’est pour ça que nous disons même aux américains venez le marché algérien ce n’est pas que le marché algérien mais il y a est il des études et à gérer comme les portes d’entrée vers l’afrique et le moyen orient et beaucoup sont intéressés sur ce domaine là d’ailleurs puisque ils viendront visiter ses usines algérienne mais surtout de voir comment rajouter davantage de technologies afin d’aller vers des gros volumes mais c’est comme ça qu’ils iraient ensuite vers le marché africain alors est ce qu’on peut considérer que de façon concrète l’algérie va bénéficier de cet investissement sur le plan de l’emploi quand on parle par exemple de l’investissement d’el bayadh vous dites il n’a pas été abandonnée il ne sera pas non plus financé exclusivement par les banques algériennes les américains vont à apporter ou ramener leur argent quelles répercussions sur un peu le plan de l’emploi mais ce chiffre une ba écoute et quand ils ont démarré il avait recruté une cinquantaine déjà de locaux il s’entend et blanc ils vont avancer dans le dans les phases et plus il y aura recrutement c’est certain vous savez placer un pivot de 90 ha ça prend 10 à 15 jours pour juste faire le montage et ça demande beaucoup de deux expertises et des américains ont déjà appris à certains algériens a commenté ses pivots là et comment fonctionne et c’est on parle de 90 hectares par niveau alors très rapidement d’autres investissement potentiel dans le domaine du tourisme que vous avez dit qu’il y avait du potentiel dans le domaine des services par exemple oui évidemment non non c’est certain c’est certain mais nous axons principalement maintenant surtout pour une fois dans l’agriculture dans le pharmaceutique puisque 2 3 4 et 5 et toute une délégation pour une fois dans ce format c’était dans la santé puisque nous allons reprendre le dessus j’ai du cluster santé des grâces d’ailleurs à au ministre algérien de la santé qui a voulu reprendre un petit peu ce ce projet mais cette fois ci on définit sont bien les tâches de chacun et quels sont les intervenants et des acteurs qui doivent intervenir donc une chaleur à partir du 4 novembre on saura un peu plus sur ce cluster santé et comment le réellement le faire démarrer cette fois ci avec une bonne feuille d’eau mais est ce qu’il faudrait érigé aujourd’hui les relations économiques à l’excellence des relations politiques entre les deux états pourri parce que l’atout essentiel pour les américains qui le met en évidence et la stabilité de l’algérie effectivement d’ailleurs c’est la première des choses que tout le monde remarque c’est cette stabilité politique en algérie un des rares pays arabes en ce moment à voir cette stabilité est d’ailleurs et c’est ce que nous disons aux potentiels investisseurs c’est que vous venez en algérie c’est un pays stable et qui fonctionne au standard c’est pour ça que d’ailleurs de toutes ces trois délégations de déjà venus et une troisième qui viendra bientôt c’est ce que nous leur disons venez remarquez vous même que l’algérie a changé d’algérie a changé et que les ouverte pour le business et je pense que ce qui s’est passé hier pour la première journée de jolis infectiologie va énormément booster les échanges économiques entre l’algérie et ses partenaires étrangers parce que annoncé comme ça cinq contrats je peux vous dire encore une fois c’est un message qui est adressé à l’international que l’algérie a réellement changé et qu’elle est ouverte pour le business et que on peut faire réellement du business en algérie alors c’est la stratégie du à horizon 2030 décliné par monsieur oltra de dole qui est aujourd’hui qui intéresse davantage les investisseurs étrangers mais monsieur giraud notre question d’un auditeur et vous dis est ce qu’on fait pas trop parler damiri on les attend et sans qu’ils viennent il vient ils viennent mais ils viennent en touriste non pas du tout je vous ai dit de tous les contrats qui a déjà c’est vrai que c’est vrai qu’en ce quand on parle des américains est toujours une si vous voulez les gens veulent savoir davantage mais est-ce que les autres viennent moi j’utilise que les autres viennent les européens ne va pas beaucoup mais pourquoi tout le monde pourquoi les gens ne signale pas pourquoi les autres ne vienne pas nous parler de qui exactement de ce giro je parle de tous les européens de tous ceux qui ceux qui sont 45 minutes devant d’ici mais pourquoi cela n’attire pas la conscience pour dire pourquoi ils viennent pas mais dès qu’il s’agit des américains tout le monde cherche à savoir rescue réellement ils sont là à ce qu’ils font qu est ce qu ils font pas etc ils le font ec et c’est pour nous l’algérie que de travailler avec la première puissance mondiale est là à la commune son expertise à la la qualité de ses produits et c’est des gens qui sont francs transparent dès qu’il s’agit de parler de business je pense que c’est le meilleur partenaire pour l’algérie alors autre question la dernière monsieur chéreau on est ou en étant avec le bio le projet de biotechnologie algérie à 2020 ça fait longtemps que vous en parlez on ne voit pas se concrétiser oui ça a pris un peu de temps malheureusement tout prendre du temps parce que il a il ya une incompréhension je pense qu’au départ puisque nous ce projet là il est question de recherche et développement c c ça et c’est l’avenir de l’algérie c’est l’avenir des jeunes des poussées vers l’innovation et pour aller vers l’innovation qui actuellement c’est la clé de tous les succès dans tous les secteurs vous y croyez monsieur chirurgie crois énormément et je pense que cette fois ci par là le 4 novembre on ira avec une feuille de route est semée encore une voix recherche et développement qui va prendre du temps c’est pour ça qu’il faut une stratégie c’est pour ça encore une fois je remercie sonatrach qui a annoncé cette stratégie 2030 il faut que les autres secteurs sujet maintenant de parler des stratégies 2030 2040 c’est la meilleure assurance non seulement pour l’étranger mais pour les nationaux il faut que nos jeunes puisque l’algérie a beaucoup de chiens qu’ils puissent trouver du travail et qui croient à cette algérie de demain et il faut qu’il y ait de l’innovation innovation veut dire beaucoup de recherche et développement il faut s’orienter vers ça et de l’algérie à plus de 50 universités donc il faut trouver leur coopération avec certains laboratoires de recherche étrangers et cette fois je défends les laboratoires américains monsieur smet chief remercie d’avoir répondu à nos questions et nous arrêter en direct avec nous ce matin dans le studio merci beaucoup

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